Créations
"Camille n'aime pas ça", création de la Compagnie des Déniapés - 2025
"Camille n'aime pas ça"
création de la Compagnie des Déniapés
(2025)
(Camille n'aime pas ça (et Camille non plus)
"Ecrivain au succès planétaire, Dominique Mercier est dans le doute. Pas d’inspiration, la pression de l’éditeur, son avenir s’assombrit. Pourtant, parfois, la peur du vide existentiel offre de l’espace à l’inattendu, à ce qui n’arrive jamais, l’autre face de l’existence, celle qu’on devine sans jamais la voir.
Et là, commence alors la plus improbable des équipées, celle qui surgit de nulle part sans qu’on n’en maîtrise le moindre élément, un engrenage infernal où tout dérape.
Une comédie débridée et tendre sur la création entre rêve et réalité…"
Tel est le thème de la prochaine création de la Compagnie des Déniapés (section théâtre de l'association Bisous BFC).
Après "L'Âme amère des chaises en bois" et "Rézo Story", la troupe constituée de sept comédiennes et comédiens poursuit son aventure théâtrale. Enchaînant les ateliers d'improvisation puis de création, le groupe s'attelle maintenant au travail de texte à présent écrit.
Les répétitions ont commencé pour une première présentation publique à l'automne 2025.
Cette 11ème création des Déniapés intègre un nouveau comédien et une nouvelle comédienne, Christian Girault et Kadija Bouazzaoui.
"L'Âme amère des chaises en bois", le projet théâtral 2023 de la Compagnie des Déniapés
L'Âme amère des chaises en bois
La Compagnie des Déniapés se lance dans un nouveau projet de création théâtrale qui sera présentée à l'automne 2023 au Rézo'Fêt'Art à Dijon.
Entrer dans l’univers secret des chaises en bois, c’est pénétrer un monde méconnu entre une intense vie végétale et des souvenirs tenaces du passé. C’est regarder l’objet pour autre chose que ce qu’il est ou qu’il semble apparaître de prime abord, espace irrationnel qui…
A moins que ce ne soit tout simplement qu’une immense escroquerie où on fait prendre des vessies pour des lanternes. C’est vrai quoi ! Une chaise, c’est une chaise qu’elle soit en bois ou en métal. C’est pas comme mon copain Marcel, celui du champ d’â côté qui disait, en parlant de son urinoir posé à l’envers,
« Ceci n’est pas un urinoir. »
Une chaise, on s’assoit dessus quand on en a assez de rester debout. Et pour manger à table, c’est quand même plus pratique. Pourtant, la chaise en bois peut avoir l’âme amère, posée ici, incomprise tandis que, là, ma mère, sur une chaise en plastique, avale sa soupe du soir.
Allez savoir ce qu’il en est véritablement. Tout ça n’est qu’une vision personnelle des choses, chacun regardant par son petit bout de la lorgnette, qu’il soit homme ou femme, jeune ou vieux, carrossier ou philosophe, féministe ou femme soumise, chameau mâle ou lama mère.
Après, quand tous se retrouvent au même endroit face à l’objet de la discorde, l’âme amère de la chaise en bois n’a plus qu’à bien se tenir.
De plus amples infos sur les représentations très bientôt...